Dimanche 30 octobre, il est temps de rentrer.
Les valises sont prêtes, le super petit déjeuner terminé et la brique d'hier soir digérée.
On charge la voiture ok mais .... où sont les clés ??? On cherche dans la chambre : rien. On ramène les valises qui attendaient au pied de la voiture, on ré ouvre les valises, on vide tout, on regarde dehors ... Rien. Il faut se rendre à l'évidence les clés doivent être dans la voiture fermée à ... clé.
Ca tombe bien ça nous est arrivé il y a quelques temps, on connait la procédure. Sauf que là on est au Maroc, à 10 kms d'Essaouira, et à 3 kms de la première route goudronnée.
Quelques coups de sifflets d'Abdelhalim et c'est pas moins de 4-5 personnes qui arrivent (de nulle part) pour essayer d'aider. Le problème c'est la manière de s'y prendre : je nous voyais déjà arriver à l'aéroport avec une portière écartée facon chauve-souris. Très classe.
Finalement, l'électricien local essaye de crocheter la portière en passant par la jointure de la vitre pendant que deux autres personnes poussent la vitre de l'autre portière en espérant sous doute la faire tomber. Ca ne fonctionne pas.
On essaye la clé de la Dacia de nos voisins allemands. Sans succès.
Je prends alors le pic pour le remodeler en L ( merci papa :) ) je glisse le pic, tourne, bloque et tire vers le haut. Hop c est fait ! La voiture est ouverte. Les locaux hallucinent quelques secondes. Je leur explique la technique rapidement et c'est reparti, on charge.
Inutile de dire qu'il n'y a pas de visite de Marrakech, on arrive à 13h30 à l'aéroport après avoir pas mal galéré pour le trouver. Pas une pancarte, une circulation de folie où tout le monde roule n'importe comment, brule les feux, double sur la ligne blanche etc ... Le tout ici c'est d'envoyer un coup de klaxon pour prévenir.
La palme du jour revient quand même à un paraplégique en fauteuil roulant électrique, sur la 4 voies entre Essaouira et Marrakech. Oui on parle bien d'un gars en fauteuil électrique sur la voie de droite, au milieu, alors que la vitesse est limitée à 100 km/h. Nous le déposons littéralement, avec un petit coup de klaxon qui le fera serrer légèrement à droite !
Les valises sont prêtes, le super petit déjeuner terminé et la brique d'hier soir digérée.
On charge la voiture ok mais .... où sont les clés ??? On cherche dans la chambre : rien. On ramène les valises qui attendaient au pied de la voiture, on ré ouvre les valises, on vide tout, on regarde dehors ... Rien. Il faut se rendre à l'évidence les clés doivent être dans la voiture fermée à ... clé.
Ca tombe bien ça nous est arrivé il y a quelques temps, on connait la procédure. Sauf que là on est au Maroc, à 10 kms d'Essaouira, et à 3 kms de la première route goudronnée.
Quelques coups de sifflets d'Abdelhalim et c'est pas moins de 4-5 personnes qui arrivent (de nulle part) pour essayer d'aider. Le problème c'est la manière de s'y prendre : je nous voyais déjà arriver à l'aéroport avec une portière écartée facon chauve-souris. Très classe.
Finalement, l'électricien local essaye de crocheter la portière en passant par la jointure de la vitre pendant que deux autres personnes poussent la vitre de l'autre portière en espérant sous doute la faire tomber. Ca ne fonctionne pas.
On essaye la clé de la Dacia de nos voisins allemands. Sans succès.
Je prends alors le pic pour le remodeler en L ( merci papa :) ) je glisse le pic, tourne, bloque et tire vers le haut. Hop c est fait ! La voiture est ouverte. Les locaux hallucinent quelques secondes. Je leur explique la technique rapidement et c'est reparti, on charge.
Inutile de dire qu'il n'y a pas de visite de Marrakech, on arrive à 13h30 à l'aéroport après avoir pas mal galéré pour le trouver. Pas une pancarte, une circulation de folie où tout le monde roule n'importe comment, brule les feux, double sur la ligne blanche etc ... Le tout ici c'est d'envoyer un coup de klaxon pour prévenir.
La palme du jour revient quand même à un paraplégique en fauteuil roulant électrique, sur la 4 voies entre Essaouira et Marrakech. Oui on parle bien d'un gars en fauteuil électrique sur la voie de droite, au milieu, alors que la vitesse est limitée à 100 km/h. Nous le déposons littéralement, avec un petit coup de klaxon qui le fera serrer légèrement à droite !